Expérience de la conservation: Sites sacrés à Bandjoun, Ouest du Cameroun

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Le Sacré Initiative sites naturels propose régulièrement des "expériences" conservation de gardiens, gestionnaires d'aires protégées, scientifiques et d'autres. Ce poste comprend les expériences de M.. Sébastien Luc Kamga Kamdem-doctorat qui travaille actuellement avec le réseau d'aires protégées de l'Afrique centrale (RAPAC). Sébastien a travaillé sur les sites naturels sacrés à Bandjoun, Ouest du Cameroun et a identifié le besoin de méthodes de restauration culturelle ainsi que biologiques de ces endroits spéciaux. Cliquez ici pour lire l'étude de cas complète sur le thème "Sites sacrés à Bandjoun, Ouest du Cameroun“.

Situé dans le centre administratif de Bandjoun, Tchuep-Poumougne est un domaine effrayé de valeur spirituelle hauteur. Dans le passé, la région de son infuence couvrait l'ensemble de Pete trimestre. En raison de l'urbanisation ses valeurs écologiques environnantes ont considérablement diminué et que le cœur du sanctuaire reste. Photo; Sébastien Luc Kamga-Kamdem (2008).

Situé dans le centre administratif de Bandjoun, Tchuep-Poumougne est un domaine effrayé de valeur spirituelle hauteur. Dans le passé, la région de son infuence couvrait l'ensemble de Pete trimestre. En raison de l'urbanisation ses valeurs écologiques environnantes ont considérablement diminué et que le cœur du sanctuaire reste. Photo; Sébastien Luc Kamga-Kamdem (2008).

Dans le territoire de Bandjoun dans l'ouest du Cameroun se trouvent divers sites perçus comme sacré par les populations locales. Ils sont les vestiges de base de sites qui ont été historiquement beaucoup plus vaste représentant l'identité des tribus et des communautés dans la région comme des tombeaux de famille et de lieux de rassemblement de la communauté. La fonction partagée de la plupart des sites est l'adoration des dieux. Même si l'écologie de ces sites naturels sacrés a reçu peu d'attention jusqu'à présent, ils sont connus pour abritent des animaux et des plantes qui ont en grande partie disparu des zones environnantes.

Les chefs traditionnels ont déclaré que la survie des lieux sacrés ne soit pas menacée parce que ces domaines sont étroitement liés à l'identité de la communauté et donc bien pris en charge hors. Pourtant, ils s'inquiètent de la solidité du tissu culturel qui a confirmé sites naturels sacrés. Changement d'attitude des jeunes qui sont de plus en plus matérialiste amener à désobéir toboos et montrent peur que le respect des croyances ancestrales. Aujourd'hui, de nombreuses personnes utilisent des zones sacrées sans en informer leur gardien, indiquant l'érosion des normes culturelles. Menaces les plus importantes ont été identifiées, mais la plupart sont l'objet de débats parmi les populations locales elles-mêmes.

Au fil des siècles, le peuple Bandjoun ont mis au point un système de gestion ancestrale des sites naturels sacrés. L'emplacement des sites sacrés naturels et semi-naturels est identifié par les chefs spirituels initiés (MkamSi). Alors que la plupart ont été établis de longue date, l'emplacement d'une zone sacrée n'est pas immuable et peut être modifié pour des raisons comme la construction de routes ou la réorientation socio-politique. Généralement, chaque zone sacrée est sous la responsabilité d'un gardien appelé Nongtchuép. Il est chargé de faire des offrandes et des sacrifices, pour lesquels il peut aussi mandater un représentant. Les anciens initiés sont dépositaires universels. Ils ont le droit de travailler dans tous les lieux de culte.

Les plus grands progrès soutenir la conservation des zones sacrées serait leur reconnaissance juridique, sensibilisation accrue du public, changements négatifs réduits dans l'utilisation des terres et une meilleure reconnaissance de leur importance socio-culturelle et écologique. Pour atteindre tous ces nécessitera la participation des parties prenantes au niveau local, niveaux national et international. Lire la suite.

 

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